Morne Pente

novembre 2013
Le début de la campagne pour les prochaines élections municipales fait sortir notre Commune de sa torpeur; des bruits invérifiables se répandent, mais, c’est sûr, demain on rase gratis ! C’est le moment pour ceux qui ne veulent plus vivre la situation actuelle et encore moins celle du passé, de se faire entendre, de participer aux débats publics, d’évaluer les programmes électoraux en fonction des preuves du passé et de ne pas se contenter de beaux discours, peu crédibles, habillés à la mode du moment : écolohumaniste.
On nous parle aujourd’hui de « qualité de vie » mais quand on avait un pouvoir de décision on disait : « Moi, je crois que ce n’est pas aux Saint-Jeannois de se sacrifier pour résoudre la crise du logement ». On nous parle « d’éco-quartiers » alors qu’autrefois on les qualifiait « de parcs de cabanes à lapin ». On nous garantit « une gestion qui privilégie notre quotidien » alors qu’on a osé écrire : « Nous respectons la réglementation en payant une amende annuelle pour ne pas être en règle avec la loi ». Et ces scandales de clientélisme dans l’attribution de passe-droits lourdement condamnés, dont le parking Sainte-Barbe, et la rénovation du château soldée, à elle seule, par une condamnation de 5M€ ! Il y a huit ans de cela, on nous suggérait que « la pose de caméras de surveillance pourrait s’avérer nécessaire » mais, aujourd’hui, on critique « la mise en oeuvre d’un système de
vidéosurveillance » alors que des familiers de cette même équipe sont les professionnels de la filière! On vous a eus, mais souriez, vous êtes filmés. Comment peut-on croire une équipe qui a couvert notre Commune d’opprobre quand le Figaro a publié dans ses colonnes le palmarès de la Fondation Abbé Pierre signalant que « la petite ville de Saint-Jeannet dans les Alpes-Maritimes est le bonnet d’âne national ». Saint-Jeannet Demain: l’oxymore emblématique de la procrastination saint-jeannoise; pourquoi pas Saint-Jeannet Avant-hier? Pour preuve, les photos d’identité de présentation de ce programme ‘’a minima’’ sont les mêmes que celles des Lettres du maire du début du siècle : n’ayez pas peur, rien ne bougera, bonjour l’avenir !
Le plan local d’urbanisme (PLU) sera un des principaux thèmes de la campagne. Si on peut regretter un certain manque de transparence dans l’élaboration du projet et l’absence de pédagogie dans sa présentation, la procédure a été respectée; l’instrumentalisation de la peur comme thème de campagne est déplorable : c’est faire peu de cas du jugement des Saint-Jeannois. Le principal risque que nous courrons dans cette affaire est de nous voir dépossédés de notre PLU après les recours déposés auprès du tribunal administratif, puisque le projet de loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR) prévoit que les PLU seront élaborés à l’échelle intercommunale et non plus à celle de la commune. Il y a là un très grand risque de voir les services de l’intercommunalité préempter l’organisation de notre territoire; ils n’attendent que cela pour nous imposer ce que ne veulent pas les autres communes. Il faut annuler les recours auprès du tribunal administratif car il est irresponsable de prendre un tel risque pour Saint-Jeannet; on paye encore aujourd’hui, et très lourdement, de telles erreurs commises par le passé. Il faut mettre en place une commission extra-municipale qui travaillera, en toute clarté, dans un français compris de tous, sur l’amélioration du PLU existant. Des représentants de chaque quartier siégeront dans cette commission et travailleront en étroite collaboration avec les habitants pour concrétiser un PLU consensuel.
Les quartiers ! Cette innovation, née de la dernière campagne, a été complètement dénaturée et ne répond pas aux attentes de nos concitoyens. En cinq ans je n’ai jamais été convié à une seule réunion de mon quartier. Plutôt que de structurer les quartiers en un découpage administratif à la discrétion de l’administration municipale, il eût été plus fructueux de les considérer comme des associations d’habitants soucieux de s’impliquer dans la vie communale, qui aident notre communauté dans la résolution des problèmes locaux, la municipalité leur apportant la logistique nécessaire à la réussite des fêtes de quartiers, au développement des jardins partagés, au ramassage des déchets verts, au support informatique de leurs pages Internet, à la communication locale, aux relations avec l’intercommunalité, à l’amélioration de l’environnement paysager où les quartiers sont concernés en premier lieu; pour exemple: le déplacement des poubelles qui dégradent actuellement notre paysage; les bancs publics qui encadrent les poubelles seraient plus utiles aux arrêts de bus où on ne serait plus obligés de s’asseoir par terre; l’embellissement et la sécurisation de l’entrée du village par des trottoirs en continu; la restitution aux villageois de cette salle de réunion historique, symbole de la vie sociale à Saint-Jeannet, qui fut une salle de classe, une mairie annexe, une salle des mariages, la suppression d’une telle salle de réunion associative est incompréhensible en cette période où on en recherche désespérément; la réinstallation, au carrefour du Peyron, de la sculpture de Jacques Mauplot (qui a mystérieusement disparue) à la place de ce hideux mobilier urbain qui gâche l’angle de vue sur le village et le Baou. Jamais un comité de quartier, s’il avait été consulté, n’aurait accepté une telle dégradation…
Les faibles revenus de notre Commune devraient nous inciter à fédérer toutes les compétences et les bonnes volontés pour améliorer le quotidien des Saint-Jeannois et construire l’avenir de leurs enfants. Les commissions extra-municipales seraient un excellent outil pour atteindre cet objectif en toute indépendance et éviteraient que les élus soient injustement qualifiés d’autocrates. Prenons l’exemple de la rénovation de la Chapelle Saint Jean‑Baptiste, qui est globalement une réussite; elle aurait été mieux acceptée si une commission extra-municipale du « patrimoine » y avait été associée; on aurait aussi évité certaines erreurs. Pour avoir des membres de commissions motivés et compétents, chaque association bénéficiant d’une subvention communale déléguera au moins deux membres de son comité directeur qui la représentera dans une des commissions extra-municipales, gérée par un élu chargé du suivi de la feuille de route, à vocation économique, culturelle, sportive, sociale ou touristique.
Car les associations sont le moteur de la mixité sociale et générationnelle de la Commune; la municipalité doit les soutenir en n’attribuant ses subventions qu’aux seules associations dont les activités contribuent à l’amélioration de la qualité de vie des Saint-Jeannois. Pour lutter contre tout cloisonnement, les associations seront incitées à accompagner des projets communs au sein d’une commission pour entretenir la convivialité saint‑jeannoise. Par exemple, la commission de la gestion du temps scolaire pourrait associer des anciens avec des sportifs, des artistes et des parents d’élèves, ou la commission du patrimoine pourrait regrouper des marcheurs et des chasseurs pour restaurer le balisage de nos sentiers, faire découvrir les richesses insoupçonnées de notre territoire et exposer les objectifs et l’organisation de chaque association par l’apposition judicieuse de Flashcodes qui renverront le lecteur vers les pages Internet spécifiques de l’association.
Le manque de financement est l’argument systématique des individualistes apôtres de l’immobilisme qui refusent tout projet innovant, alors que c’est leur volonté d’aboutir qui fait défaut. Nous n’habitons pas Saint-Jeannet par hasard et nous sommes nombreux à vouloir anticiper l’évolution de notre société en initiant un vrai programme de développement durable, sans se gargariser de propos écolo-bobo. Avec sa situation géographique, son environnement exceptionnel et sa perle du Baou, notre Commune a de remarquables atouts pour fédérer les forces vives de sa population dans la mise en oeuvre d’ambitieux projets économiques, touristiques, artistiques, sportifs, au rayonnement départemental, régional, national voire européen. L’élaboration de tels projets créera une dynamique de groupe qui, en rassemblant les compétences de toutes les générations, iront à Bruxelles, Paris, Marseille et Nice, à la rencontre des décideurs et des élus, pour valoriser notre Commune et décrocher les budgets, sur les fonds publics d’aide au développement, nécessaires à la concrétisation de leurs projets. Pour les soutenir, la municipalité fournira la logistique et les moyens nécessaires à la communication, aux transports, aux services sociaux.
Il y a à Saint-Jeannet une forte concentration d’intellectuels, d’ingénieurs, de diplomates et de cadres de haut rang, actifs ou retraités. C’est un atout considérable, beaucoup d’entre eux étant prêts à rejoindre les commissions et, grâce à leurs compétences, à contribuer à la valorisation de notre territoire en troquant notre « bonnet d’âne national » pour l’auréole d’un modèle exemplaire du développement social et économique. Le
dynamisme de ces commissions incitera les élus et l’administration à se soucier des priorités de notre territoire. Le déploiement de la fibre optique en est un; sans anticipation, il y aura une grande inégalité dans la couverture numérique des territoires, avec toutes les conséquences que cela impliquera pour l’emploi et l’activité économique. Le très haut débit sera un atout très important pour l’éducation, la culture, les auto-entrepreneurs, les artisans, les PME, le travail à domicile et le choix de résidence des particuliers. Saint-Jeannet, porte des Baous, sera valorisé par sa commission du déploiement de la fibre optique, qui poussera nos avantages et sera écoutée de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), du Syndicat Mixte des quarante cinq communes du Parc Naturel Régional des Préalpes d’Azur (PNR); elle pourrait aussi partager ses compétences techniques avec le Conseil de Développement.
Une Commission de la communication s’avère nécessaire, puisque les panneaux d’affichage annoncent encore, début novembre, le programme des festivités de l’été dernier, puisque l’unique panneau lumineux installé sur notre Commune n’est lisible que du bar tabac, puisque les publications de l’ordre du jour des conseils municipaux sont incompréhensibles et puisque le site internet ne répond pas aux attentes du public, des commerçants, des associations, des touristes. Cette commission, qui regroupera, toutes tendances et générations confondues, des volontaires motivés avec des compétences éditorialistes, artistiques, territoriales, sociales et informatiques, sera contrôlée par un comité d’éthique pour éviter les dérives tendancieuses du passé. Afin de pallier le dédain de la presse du littoral pour les communes du Moyen Pays, la municipalité assistera logistiquement la commission dans un projet de création d’un journal gratuit, dans un premier temps pour Saint-Jeannet, puis pour toutes les communes du PNR qui adhéreront au projet. Cette même commission fera réaliser, par les artistes locaux, les affiches qui seront placardées chaque semaine sur tous les panneaux répartis sur notre territoire. Pour synchroniser le calendrier de la municipalité et des associations, chaque affiche fera l’objet d’une analyse critique, publique, deux semaines avant sa publication. A la fête du Nouvel An, un prix sera attribué à l’auteur de la meilleure affiche de l’année précédente.
L’implantation du centre de santé, heureusement prévu dans le plan local d’urbanisme, mérite de profondes études et réflexions publiques, tant ce projet aura un impact sur l’avenir de la vie sociale à Saint-Jeannet, Il ne faut surtout pas décider en catimini de l’emplacement, de l’accessibilité, du regroupement et de la haute qualité des ces nouveaux services dont nous bénéficierons pendant des générations. Situé au-dessus du pôle multimodal, proche du cœur de la commune, avec des parkings, desservi par les transports urbains et interurbains, ce lieu sera le point de rencontre obligé de tous les Saint-Jeannois. Le retour sur investissement sera considérable, il faut profiter de cette dynamique pour y adjoindre les locaux d’une crèche municipale, ou associative, voire d’une salle municipale.
Par ses activités et son emplacement, notre pôle santé sera un atout non négligeable pour négocier, avec la Caisse d’Assurance Maladie, une convention sur les transports sanitaires, ce qui financera le système de minibus à la demande géré par la commission des transports qui viendra en aide à nos concitoyens défavorisés, ou handicapés, en les transportant de leur domicile au centre médical, mais aussi vers les centres spécialisés de notre région: l’Archet, Lenval, Saint-Jean. La commission des transports sera aussi chargée de la gestion des transports scolaires et, en étroite coopération avec les quartiers, de la mise en place du réseau intra municipal, géré, contrôlé et adapté en continu grâce à nos nouveaux moyens informatiques.
L’emploi des jeunes sera en première ligne de la feuille de route de la Commission d’Action Sociale qui s’organisera pour créer et suivre des emplois d’avenir et, afin d’apporter une aide personnalisée aux Saint-Jeannois dans leurs recherches d’emploi, la commission gérera un point relais conventionné avec l’agence Pôle Emploi. Pour satisfaire la demande de notre jeune population d’actifs et augmenter la capacité de l’offre, en plus de la crèche municipale ou associative, la Commission d’Action Sociale contribuera au développement de crèches à domicile et accompagnera dans leurs démarches les personnes qui voudront obtenir l’agrément d’assistantes maternelles, ce qui augmentera le nombre d’emplois sur notre commune et de place pour les gardes d’enfants.
La Commission culturelle aura, parmi ses missions, celle d’animer les comités de jumelage avec quatre communes de la zone euro : Italie, Espagne, Allemagne et Irlande. Les subventions que la commission obtiendra en soumettant son projet innovant dans le cadre du programme de « l’Europe pour les citoyens » avec l’aide de l’Association Française du Conseil des Communes et Régions d’Europe (afccre), favorisera les échanges artistiques, sportifs et l’enseignement des langues par les échanges et les voyages scolaires; le développement touristique ciblé génèrera des retombées économiques. Les comités de jumelage faciliteront les stages des jeunes au sein de cette communauté européenne.
La Commission touristique, en conformité avec la Charte européenne du tourisme durable (CETD), travaillera en étroite collaboration avec les commissions du PNR des Préalpes d’Azur pour améliorer la qualité des prestations touristiques et de l’accueil. Elle facilitera la coopération avec les autres communes du territoire, pour accroître notre fort potentiel de développement économique basé sur le tourisme, et accompagnera les initiatives privées concernant les gîtes ruraux, les chambres d’hôtes, les circuits de randonnées, de VTT et le tourisme équestre; Saint-Jeannet, porte des Baous, étant remarquablement situé entre le littoral et le Moyen Pays. Salvan, notre historique commune jumelle, sera associée au grand projet du festival de la grimpe, qui fédérera tous les artistes et les passionnés d’escalade, pour que notre Commune recouvre le prestige qu’elle n’aurait jamais dû perdre et redevienne cet incontournable phare régional de l’escalade hivernale.
Nombreuses sont les expériences de circuits courts pour favoriser la distribution des produit locaux, les AMAP, les cantines scolaires, le bio. La municipalité accompagnera cette démarche et complétera la subvention régionale par une subvention municipale au taux dégressif selon que l’origine des produits est communale, territoriale ou régionale. La commission économique, dont les membres seront désignés par tous les commerçants de la commune, élaborera un plan de distribution des produits locaux. Conjointement avec la
commission des transports, elle veillera à ce que les circuits des transports intra urbains s’accordent avec les flux commerciaux des différentes zones d’activités commerciales, qui ne sont pas concurrentes mais complémentaires. La Commission commerciale siègera aussi au Comité de développement du site Internet pour veiller à la promotion des commerces saint-jeannois.
L’alibi, simpliste, de la distribution de tablettes numériques dans les écoles ne suffit pas pour avoir le label de la modernité. L’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) ouvre une nouvelle ère dans le partage des connaissances et l’organisation de la société, comparable à celle de l’invention de l’imprimerie au XVème siècle. L’information n’étant plus réservée à une élite, l’autocratie est devenue impossible, si nous ne la voulons pas. Nous devons développer l’esprit critique chez nos enfants dès leur plus jeune âge; avec eux, apprenons à décrypter les messageries pour éviter les dangers des bulles virtuelles des réseaux sociaux, et revenons à la réalité, en nous impliquant concrètement dans la vie sociale de Saint-Jeannet, où nous avons la chance d’avoir une génération d’ingénieurs qui ont participé à la création d’Internet et qui auront toute leur place dans la Commission Informatique qui gérera le site Internet de la
Commune.
Cette Commission Informatique se réappropriera le site Internet de Saint-Jeannet; ce fut une grave erreur de s’en débarrasser en le donnant au SICTIAM, alors que ce devrait être le poumon associatif, économique et culturel de notre Commune. La Commission exercera une mission pédagogique en dispensant des cours qui déculpabiliseront les ‘Anciens’ devant le clavier d’une machine, qui ne sera jamais plus intelligente qu’eux, et prouveront à notre jeunesse que le son, l’image et l’onomatopée ne sont pas des substituts à la réflexion ni à l’écrit. La Commission assistera techniquement, pendant le temps libre, les enseignants dans le développement de l’univers informatique et facilitera les liaisons interactives avec les classes de nos communes jumelles; elle aidera les professeurs de langue dans la mise en place d’une méthodologie pour la traduction du « gratuit de Saint-Jeannet », en italien, espagnol, allemand et anglais. Avec l’aide des associations, les circuits de transports, de randonnées, les voies d’escalades seront méticuleusement décrits, le PLU fera également l’objet d’une description didactique toute particulière et compréhensible; les associations, les groupes scolaires, les commerçants et les auto-entrepreneurs qui le souhaitent bénéficieront de l’assistance technique de la commission informatique pour développer leurs pages sur le site communal. L’Internet Café sera « le spot » d’aide à la créativité et aux échanges.
Afin de mesurer la qualité des services rendus, la progression des projets annoncés et la concrétisation des promesses, un processus de gestion de projets sera mis en place pour anticiper, annoncer, déléguer, contrôler et rendre compte; les courbes du plan de qualité seront visibles en temps réel, les critères de mesure seront définis consensuellement par les membres de chaque commission ainsi que par les employés de chaque service municipal. Le plan de qualité valorisera le travail des employés municipaux, les garants de notre qualité de vie, sans qui rien ne pourrait se faire à Saint-Jeannet.
Nous vivons sur un territoire privilégié où la beauté du site incite à l’oisiveté et masque certaines défaillances qui seraient insupportables en d’autres lieux. Mais nous n’acceptons plus ces réunions publiques d’autosatisfaction où l’assistance, méprisée, ne peut s’exprimer, ni celles où il y a plus d’élus étrangers à notre Commune que de Saint-Jeannois. Avec un peu plus d’ouverture d’esprit nous pouvons améliorer notre qualité de vie. Saisissons l’opportunité des prochaines élections pour exprimer nos suggestions concernant l’avenir de Saint-Jeannet, et nos critiques constructives tout en combattant les oppositions archaïques, claniques, égoïstes et stériles qui nous ont déjà trop lourdement pénalisés. Les élections ne doivent pas être un choix entre la peste et le choléra, l’autocratie et la dictature, mais l’expression d’une réelle démocratie participative, où chacun doit pouvoir apporter sa pierre à l’édifice dans l’élaboration des futurs programmes, se faire entendre et faire preuve de vigilance critique par rapport à des promesses qui ne seraient pas tenues. Il y a du travail, on part de loin, mais en chaussant nos crampons, nous pourrons remonter la pente.
Christian Mingot
Novembre 2013

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